Une épreuve sur route qui rassemble 14 coureurs du club, à ma connaissance voilà quelque temps que l’on n’avait pas eu le plaisir de voir cela !
Le TPC c’est 4 jours, 6 étapes :13.82, 20.8, 10, 8.4, 13.66, 21.05 km en individuel ou en relais.
Le club présentait 2 relais mixtes de 6 coureurs, dont le second complété par Annick et Philippe, deux coureurs des Amis Bipèdes Couronnais, relais qui ont terminé respectivement 17ème et 41ème, 2 individuels Jean Paul et Hugues sur les 6 étapes, Michel B sur l'étape du Trait et sur celle de Caudebec en Caux, Jérémy et Jérôme F également sur l'étape de Caudebec en Caux et qui ont aidé Jean Paul et Hugues à bien figurer.
Participaient également au Tour du Pays de Caux, en intégralité Michel Deilhou, membre du club ; mais qui courait avec le maillot des Bipèdes Couronnais et Patricia Deilhou, membre du club, à l'étape de Caudebec.
Michel et Jérome
Résultats
Classement general individuel apres l'etape 6
Le dernier TPC à Yvetot
Le festival de Cannes et ses paillettes venait à peine de baisser rideau que se profilait pour le RCS Le dernier TPC à Yvetot.
Puisque le Pays de Caux trempe souvent son Caudebec dans ce fleuve, notre metteur en Seine, Jérôme Pesquet avait formé deux équipes de tournage alors que simultanément, certains de nos acteurs avaient décidé de jouer La leçon de piétons à Trois hommes et un coup fin pour un Tir groupé.
A tout seigneur, tout honneur, c’est Le bon roi Henry qui allait fournir la meilleure partition. Pianotant le bitume avec allégresse telle une poule qui a du pot, il bouclait son grand galop chromatique en 23ème position.
Engagé pour un rôle de jeune premier, Hugues Guillot, après un début de pièce sur les chapeaux de roue souffrit de la distance. Les jambes coupées à mi parcours lui firent perdre la tête (phénomène plus connu sous le triste nom de Guillotine). Dans cet état, il versa alors dans Autant en emporte le vent pour se coucher après l’ultime représentation à une néanmoins très honorable 113ème place.
Quant à notre Michel à nous, avec sa taille et sa gueule à la Constantin, il arrivait à trouver Le deuxième souffle à la 146ème place.
Quid de nos deux équipes de tournage ?
La première devait tourner un remake du très célèbre Le seigneur des anneaux.
Le scénario voyait Deux Elfes, Ophé Lys d’amour et Jérémie de pain béni se rencontrer sur un chemin de la lande et allier leurs forces pour s’envoler vers le champeval de grâce où était caché Le Précieux. Vous aviez sans doute deviné que celui qui les avait mis sur sa piste n’était autre que le superbe Jérôme Aragorn Fromange qui à Grand pas s’était joué Doux de ville.
Et les Hobbit me direz-vous ? Ils étaient deux. Bulbon Mabite le sage et Jean François Jolite le sot à qui l’anneau brûlait les doigts de pied et qu’on vit gesticuler le long de la Seine en criant ’’mon précieux, mon précieux’’ jusqu‘à ce que Jérôme Aragorn qui passait solidairement par là le remette dans le droit chemin.
Comme la femme est l’avenir aussi bien de l’homme que du Hobbit (comme l‘a chanté Jean Ferrat sur les paroles d‘Aragorn, Le seigneur des quatrains) , c’est Virginie qui apposa sa signature dans Le bas de l’œuvre commune pour y mettre le clap de fin malgré le mur d‘Yvetot.
Il y eut plus de variété dans le tournage de la deuxième équipe, qu’on en juge :
A Doudeville alors qu’Aragorn pacifiait le peloton, Patricia tournait Le pacte Deilhou, confondant sans doute Jérôme avec Vincent Cassel, elle s’épuisa à fuir la meute .
Sous le chêne d’Allouville, prenant un concurrent pour un soldat françois, Laurent crut entendre celui-ci lui susurrer : Messieurs Desanglois tirez les premiers. Il partit trop vite et ne s’en remit pas.
Lors de la 3ème étape, Catherine partit comme au Trait à la poursuite du roi Henry mais ne le rejoignit jamais. Ne Médicis qui veut !
Annick osa à Auzebosc chanter en courant ! Les cerises de Monsieur Clément de Michel Fugain puis elle fuga.
Sur les bords de Seine à Caudebec un autre Jérôme se prit un Gabin en tournant Le Président . Il pesqua contre son manque de lucidité.
Enfin mais ça devait se terminer Yvetôt ou tard, Philippe ne ménagea pas sa sueur pour clore le spectacle.
Vous le voyez, nos athlètes ont, comme toujours, donné une couleur nouvelle à la signification de RCS : revue cinématographique stéphanaise
Enfin pour ce qui me concerne, comme le disait Nouga York :
Sur l’écran noir de mes nuits blanches,
Moi je me fais du cinéma
Sans pognon et sans caméra,
Bardot peut partir en vacances :
RAS car RCS
Ma vedette c’est toujours toi
Bravo à tous.
Jeff
Le dernier TPC à Yvetot par Jean François
Le festival de Cannes et ses paillettes venait à peine de baisser rideau que se profilait pour le RCS Le dernier TPC à Yvetot.
Puisque le Pays de Caux trempe souvent son Caudebec dans ce fleuve, notre metteur en Seine, Jérôme Pesquet avait formé deux équipes de tournage alors que simultanément, certains de nos acteurs avaient décidé de jouer La leçon de piétons à Trois hommes et un coup fin pour un Tir groupé.
A tout seigneur, tout honneur, c’est Le bon roi Henry qui allait fournir la meilleure partition. Pianotant le bitume avec allégresse telle une poule qui a du pot, il bouclait son grand galop chromatique en 23ème position.
Engagé pour un rôle de jeune premier, Hugues Guillot, après un début de pièce sur les chapeaux de roue souffrit de la distance. Les jambes coupées à mi parcours lui firent perdre la tête (phénomène plus connu sous le triste nom de Guillotine). Dans cet état, il versa alors dans Autant en emporte le vent pour se coucher après l’ultime représentation à une néanmoins très honorable 113ème place.
Quant à notre Michel à nous, avec sa taille et sa gueule à la Constantin, il arrivait à trouver Le deuxième souffle à la 146ème place.
Quid de nos deux équipes de tournage ?
La première devait tourner un remake du très célèbre Le seigneur des anneaux.
Le scénario voyait Deux Elfes, Ophé Lys d’amour et Jérémie de pain béni se rencontrer sur un chemin de la lande et allier leurs forces pour s’envoler vers le champeval de grâce où était caché Le Précieux. Vous aviez sans doute deviné que celui qui les avait mis sur sa piste n’était autre que le superbe Jérôme Aragorn Fromange qui à Grand pas s’était joué Doux de ville.
Et les Hobbit me direz-vous ? Ils étaient deux. Bulbon Mabite le sage et Jean François Jolite le sot à qui l’anneau brûlait les doigts de pied et qu’on vit gesticuler le long de la Seine en criant ’’mon précieux, mon précieux’’ jusqu‘à ce que Jérôme Aragorn qui passait solidairement par là le remette dans le droit chemin.
Comme la femme est l’avenir aussi bien de l’homme que du Hobbit (comme l‘a chanté Jean Ferrat sur les paroles d‘Aragorn, Le seigneur des quatrains) , c’est Virginie qui apposa sa signature dans Le bas de l’œuvre commune pour y mettre le clap de fin malgré le mur d‘Yvetot.
Il y eut plus de variété dans le tournage de la deuxième équipe, qu’on en juge :
A Doudeville alors qu’Aragorn pacifiait le peloton, Patricia tournait Le pacte Deilhou, confondant sans doute Jérôme avec Vincent Cassel, elle s’épuisa à fuir la meute .
Sous le chêne d’Allouville, prenant un concurrent pour un soldat françois, Laurent crut entendre celui-ci lui susurrer : Messieurs Desanglois tirez les premiers. Il partit trop vite et ne s’en remit pas.
Lors de la 3ème étape, Catherine partit comme au Trait à la poursuite du roi Henry mais ne le rejoignit jamais. Ne Médicis qui veut !
Annick osa à Auzebosc chanter en courant ! Les cerises de Monsieur Clément de Michel Fugain puis elle fuga.
Sur les bords de Seine à Caudebec un autre Jérôme se prit un Gabin en tournant Le Président . Il pesqua contre son manque de lucidité.
Enfin mais ça devait se terminer Yvetôt ou tard, Philippe ne ménagea pas sa sueur pour clore le spectacle.
Vous le voyez, nos athlètes ont, comme toujours, donné une couleur nouvelle à la signification de RCS : revue cinématographique stéphanaise
Enfin pour ce qui me concerne, comme le disait Nouga York :
Sur l’écran noir de mes nuits blanches,
Moi je me fais du cinéma
Sans pognon et sans caméra,
Bardot peut partir en vacances :
RAS car RCS
Ma vedette c’est toujours toi
Bravo à tous.
Jeff