La 1/2 heure sur piste du club, c'est ce dimanche au stade Marcel Billard à Oissel..

Cette épreuve est organisée par le club pour les coureurs du club.

Pour ceux qui ne la connaissent pas, l'essayer c'est l'adopter. Alors laissez vous tenter et venez tester vos performances sur une demie heure de piste, soit 10 a 20 tours et plus selon votre allure. La distance accomplie sera et restera pour vous une référence pour les années suivantes.

Cette épreuve remonte à la création du club (1967) et bon an mal an, elle a traversé le temps sans faillir. Si en 2011 on dénombrait encore 23 participants, les années suivantes furent moins fructueuses alors que les effectifs n'ont pas cessé d'augmenter. Mystère !

Quoiqu'il en soit, l'équipe organisatrice sera là pour vous accueillir, comptabilser et enregister votre performance.

Alors, à dimanche, on compte sur vous ....

(inscriptions sur place à 9h15)

Ci dessous photos départs de la 1/2 heure de 2011 au stade Marcel Billard et de celle de 1978 au stade Jean Mermoz

Aussi bizarre soit-il ; l'esprit de Jean François m'a demandé de vous raconter : « 8 mars 2015 - Les Boucles de la Seine - un beau dimanche au bord de l'eau ! »

Les « envieux » disent qu'un retraité ne sert à rien, ne fait rien ; et entretient « ce rien » en faisant la sieste, chaque jour de la semaine après le déjeuner !

Dimanche dernier, après les 10 km des Boucles de la Seine, un déjeuner arrosé d'un (seul) petit verre de blanc, si possible du pays nantais - pour faire plaisir à son plus célèbre ambassadeur - je me suis assoupi (pour l'histoire ; car je ne fais jamais la sieste !).

Alors, incroyable : l'esprit de Jean François m'a contacté par l'intermédiaire de ma table à manger, de forme rectangulaire !

« Jérôme, Jérôme, esprit malin es-tu là ? Il faut que tu me remplaces, ce qui ne sera pas aisé pour toi, j'en conviens ! Tu dois aider Michel « le blogger » et relater pour lui les exploits du club de ce matin, aux Boucles de la Seine ! »

Ensuite, silence !Avait-il abusé du vin puissant du Massif des Maures, rendant ensuite toute communication impossible ? Avait-il sombré dans un brutal coma éthylique, dont - d'après Michou, son ami de coeur – il est malheureusement coutumier ?

« Te remplacer, te remplacer, c'est facile à dire ; mais comment te remplacer, toi « l'irremplaçable », le scribouillard talentueux, toi l'élégant et imaginatif Jean François (pas de Nantes), dans cet exercice, dont tu excelles tant? »

Comment aurais tu traité le sujet, liant la présence du fleuve, la journée de la femme et nos exploits ?

Je nous imagine (les gars), transformés pour l'occasion en ragondins remontant à la queue leu leu le fleuve ; et les filles en princesses vikings velues (après l'hiver, c'est normal) ?

Pour le trail « La Robert Le Diable » de dimanche prochain, ce serait plus évident. Je verrais bien Laurent Algrain, dans le rôle de la mère Mac'Mich courant après ses bons petits diables, engagés dans une aventure sans fin !

Mais je m'égare. Revenons à notre sujet: les Boucles de la Seine et ce texte pour le blog de Michel, sur lequel ses photos prises dimanche matin figurent !

« Dimanche matin, il faisait particulièrement beau. Je ne sais pas si Jean Claude, qui s'était engagé – seul représentant du club – à Bosc le Hard sur le 7,8 km marche de la Foulée Bolhardaise, a autant bronzé que nous à Elbeuf, avec la réverbération du soleil sur la Seine ?

Quoiqu'il en fût, comme il a un peu « traîné » (1h 01' 36) dans la campagne, il a dû parfaire son bronzage ! Au fait, il est arrivé 43ème sur 101 classés et 2ème VH4 (ratée, la prime !). Tout compte fait : pas mal pour un vieux soldat !

Quant à nous, nous n'étions pas aussi seuls dans les 2 pelotons : 30 sur le 10 km (672 classés), 3 courageux et 1 courageuse sur le semi (685 classés) !

Les Boucles de la Seine, après St Paër (fin février/27 coureurs), avant la Remuée (mi-mars/18 inscrits) et Bois Guillaume en octobre (34 coureurs en 2014) est une épreuve que les coureurs du club, après une belle saison hivernale de cross, apprécient particulièrement, même si le président du club grand couronnais n'a pas apprécié d'être « planté » à 200 m de l'arrivée par une coalition de petits couronnais ! »

Les résultats des filles :

144è – Ophélie Delalande – 8ème femme - 41' 16 – 8ème SF – 14.54 km/h

253è – Virginie Lebas – 46' 57

346è - Patricia Deilhou - 50' 11 – 3ème VF2

471è – Catherine Douville – 55' 29 – 2ème VF3

547è – Patricia Lesueur – 59' 18

549è – Yamina Omrani – 59' 24

626è – Nadine Delapierre – 1 h 03' 52

577è – Christine Drean – 2 h 00' 22 sur le semi.- 10.5km/h

Et ceux des garçons :

19è – Jérémy Champeval – 34' 17 – 10ème SH - 17,50km/h 

44è – Sidi Mohamed Moussaoui – 36' 21

53è – Camille Deschamps – 36' 56 2

97è – Hugues Guillot – 38' 57

119è – Nicolas Soufflet – 40'

146è – Roger Hautot – 41' 19 – 3ème VH3

184è – Jérémy Stervinou – 43' 44

187è – Luc Flourez – 44' 01

194è – Luc Mabit – 44' 16 – 2ème VH4

196è – Jérôme Pesquet – 44' 17 - 6ème VH3

202è – Yann Giordano – 44' 34

210è – Pierre-Eric Masson – 44' 47

215è – Michel Deilhou – 44' 56

234è – Jean Pierre Lepeltier – 46' 10

250è – Gilles Chevalier – 46' 54

305è – Axel Galindo – 48' 25

317è – Emmanuel Barre – 48' 59

318è – Pascal Levacher – 49'

401è – Dominique Godebin – 52' 42

422è – Pascal Duboc – 53' 53

534è – Jean Luc Delapierre – 58' 37

538è – René Heintz – 58' 43 – 6ème VH4

550è – Michel Bernière – 59' 26

167è – Guillaume Ragot – 1 h 33' 24 sur le semi – 13,55km/h

175è – Bruno L'Huillier – 1 h 33' 45 sur le semi – 13,5km/h

562è – David Verel – 1 h 58' 57 sur le semi .

                                                                                                  Jérome

Pour disputer le prix Pajot, il faut savoir sortir du lit. Un voeu pieu en quelque sorte.

Certains peuvent, d'autres l'oublient. Soit parce qu'elles se couchent fort tard, soit car, petit étourneau, elles se rendent au rendez-vous dominical d'entraînement en lieu et place de venir concourir.

Bien qu'elles portent un prénom qui se termine par a, je me garderais bien de donner quelque indice qui puisse révéler l'identité de nos étourdies. Nous ne sommes pas au RGS que diable.

En tout cas, il ne s'agit ni de Yamina, ni de Sarah, encore moins de Barbara ou de Patricia.

Un constat s'impose pourtant : Jéjé la Saumure ne tient pas assez ses filles.

Mais nous ne jetterons la pierre à personne. D'abord parce que, comme il est écrit sur le saint livre du courant, mieux vaut galoper que lapider, ensuite pour la bonne raison que les intéressées ont en d'autres temps montré une abnégation au club qui mérite le respect.

L'une d'elles a d'ailleurs renoncé à deux reprises à un voyage (professionnel?) dans le nord pour nous marquer des points. CQFD (SK)

Toujours est-il que le froid s'était séparé du blizzard piquant des jours précédents quand le départ fut donné. Le parcours était à l'image des créateurs de l'épreuve, plaisant.

Revêtement des allées refait, boue absente, seules quelques ornières dues aux passages des forestiers génaient la progression des coureurs.

La bande à Basile était aux affaires. Notre Maisonneuve, Maître es organisation, avait pris la précaution de ne pas courir afin d'éviter tout désagrément. En effet, lors de la campagne de Caudebec, un aigrefin avait usurpé son dossard, hérité d'une édition précédente du challenge et non rendu, ce qui lui économisait l'inscription. Le malotru se montra si rapide, qu'il devança le réputé Hassan. Si bien que lorsqu'on vit la feuille de résultats l'étonnement fut à son comble. Basile l'emportait. Pour se défendre, en plaisantant, notre ami prétendit que son frère Hassan l'avait laissé gagné. On lui dit depuis qu'à eux deux, ils forment une jolie paire de Faiz.

Comme il se doit, Le Pajot est propice aux rêves. Quelques uns s'y réalisent, Le roi Henry préparant le marathon de Londres, les voici façon radio Londres afin de mettre notre marathonien dans l'ambiance. A vous d'en déchiffrer les messages :

• L'oxygène sied aux jeunes

• Melvin se ménage un avenir Doret

• Icare vole chez les minimes

• Rien Lepert de courir quand on est tout seul.

• Le bas de la lande relègue mon don au 4ème dessous

• Legendre marche sur le testard

• Henry fuit le Kalin

Ce n'est un secret pour personne de vous dire que tout cela se termina par du vin chaud, un apéro et un gueuleton.

La langue de Laurent y fut aussi prolixe que ses jambes avaient été actives pendant le cross.

La preuve ? Il y précéda Lelièvre. Il fut par contre devancé par Bécasse mais l'histoire ne dit pas si cet oiseau est aussi drôle que le nôtre.

                                                               Jean François Joly

Les résultats

L'album photos de la matinée